Bus, S-train, métro… Entre deux descentes en rappel sur les immeubles de Berlin, Paradox se détend en surfant tout ce qui roule avec l’équipe des Berlin Kidz. Attention les yeux, cascades – à ne pas imiter.

On ne veut pas bosser quarante heures par semaine et faire comme tous ces idiots. Je suis heureux quand je fais du trainsurfing ou quand je peins des pixações. Cela m’aide à me défaire du stress et à oublier tous mes problèmes. Sans ça, je deviendrai fou dans ce système. On ne fait que nous apprendre des conneries à l’école. Nous ne sommes pas stupides, on comprend parfaitement ce qui se passe dans ce monde de fous. Le trainsurfing, c’est pour tout le monde, c’est un sport de rue. Évidemment, tout peut arriver, il faut vérifier l’itinéraire. C’est toujours différent. Au final, tout ce qu’on veut, c’est se sentir libre.